Quel grand monde que c'est le foot

le foot, il faut dire avec courage, c'est la drogue dure des démocraties. le rôle du foot comme disait un grand sociologue qui a toujours refusé la "sauciologie" ambiante, est de donner une réponse mystifiée aux problèmes sociaux de son époque. bref c'est "l'opium de la fraternité entre les peuples", c'est "la perversion du jeu par le rendement corporel".

Un autre, celui-la s'appelait Ramonet, rappelle que les premières équipes de ce sport populaire étaient liées à des entreprises, dont les dictatures mussolinienne et hitlérienne ont trés tôt usé pour soutenir leur idéologie; que les comportements chauvins des spectateurs anticipent souvent des conflits civils. Sinon comment expliquer que la fédération internationale de football (FIFA) regroupe 198 nations, alors que l'ONU compte 186 membres?

Tout ça pour dénoncer le racisme qui augmente fortement dans nos stades de foot.

Bon, moi j'ai rien compris.

Pour résumer, je dirais Speak Up Stand Up.

Et aux chiottes les supporters de merde...

Violence et racisme sont tout de même deux choses différentes dans et en dehors des stades...

Une note parue dans l'équipe à propos de la finale de la coupe d'espagne :

Citation :

10/06/2005
Foot - ESP - Coupe : Osasuna pour une première


Le club d'Osasuna tentera samedi (21 heures) de s'offrir le premier titre national de son histoire, en finale de la Coupe d'Espagne face au Betis Séville. La rencontre aura lieu au stade Vicente-Calderon de Madrid, que l'Atletico pourrait par ailleurs devoir vendre pour sortir de ses difficultés. Le possible succès du club de Pampelune sera le seul enjeu de cette finale de la "Coupe du roi", les deux équipes étant déjà qualifiées pour une coupe d'Europe.

Le Betis Séville, quatrièmee de la Liga, participera au 3e tour préliminaire de la Ligue des champions. Osasuna (15e), grâce à ça, est assuré de disputer la Coupe de l'UEFA, même en cas de défaite samedi. Le club sévillan, champion en 1935 et vainqueur de la Coupe du roi en 1977, ne néglige pas, cependant, la possibilité de terminer en beauté son excellente saison. Juanito et Joaquin, ainsi que l'attaquant brésilien Oliveira, auteur de 22 buts en Liga cette saison, sont les principaux atouts du club sévillan.

Osasuna de son côté risque d'être privé de son milieu défensif Pablo Garcia, victime d'une contracture à la jambe gauche. En Championnat, le Betis s'était incliné (3-2) à Pampelune avant de prendre sa revanche à Séville (3-1), cette saison. A noter que les supporters d'Osasuna seront encadrés par un important dispositif policier. Le club de Pampelune avait réclamé, en vain, à la Fédération espagnole (RFEF) de jouer la finale ailleurs qu'au Vincente-Calderon, stade de l'Atletico Madrid, éliminé par Osasuna en demi-finale.
Des supporters ultras de l'Atletico et du Real Madrid se sont échangés des messages sur internet appelant à «la chasse aux Navarrais» le jour de la finale.

Citation :

04/01/2006
Foot - ITA : Plus de salut pour Di Canio

Le buteur italien de la Lazio, Paolo Di Canio a annoncé mercredi à une radio romaine qu'il cessera ses saluts fascistes pour le bien de son club. Le mois dernier, le joueur avait écopé d'une amende de 10.000 euros et d'une suspension d'un match pour avoir adressé des gestes peu ambigüs aux supporters romains.

«J'ai eu le temps de réfléchir pendant la trêve de Noël et j'ai décidé de faire passer les intérêts du club avant les miens, a déclaré Paolo Di Canio. Pour le moment j'éviterai les gestes qui pour certains sont des gestes diaboliques» D'abord condamné à une amende de 10.00 euros pour son salut fasciste après la défaite face à Livourne (2-1), le 11 décembre, le capitaine de la Lazio avait récidivé huit jours plus tard face à la Juventus (1-1). Ce nouveau geste lui a valu un match de suspension. Grand admirateur du leader fasciste Benito Mussolini, sur lequel il a écrit un livre, Paolo Di Canio n'a pas totalement renoncé : «Je continuerai ma bataille pour la liberté lors d'occasions plus opportunes», a-t-il ajouté avant de préciser qu'il était prêt à prolonger son contrat avec la Lazio.

Il aurait aussi déclaré, je suis fasciste pas raciste...

mouais un connard en gros !